L’interdisciplinarité, une spécialité pour l’Uni.lu

Quel est le point commun entre Leonard de Vinci et l’Université du Luxembourg ? L’interdisciplinarité

Tandis que le Maître s’est fait connaître aussi bien pour sa maîtrise des arts, de la science, de l’anatomie ou encore de l’architecture, l’Université du Luxembourg compte elle aussi une série de domaines d’études qui collaborent les uns avec les autres.

« L’interdisciplinarité figure parmi les priorités de l’Uni.lu », a souligné son recteur Jens Kreisel ce jeudi 27 juin à l’occasion du salon Nexus 2050 axé sur les nouvelles technologies. Parmi elles, l’intelligence artificielle occupe une part importante du devant de la scène : « L’IA va alimenter l’interdisciplinarité », a souligné dans sa présentation Jens Kreisel.

Une rupture aux conséquences imprévisibles

Face à l’émergence des mégatendances que sont la santé, la digitalisation et la durabilité, les opportunités de faire collaborer ces domaines sont nombreuses.

L’intelligence artificielle est-elle transversale ou profonde ? « Je suis convaincu que ce sont les deux ! », a insisté Jens Kreisel. Cette branche renferme tant de savoirs différents et des tendances imprévisibles qu’une chose est certaine : une rupture se profile mais on ignore où elle nous mènera.

La deuxième journée du salon Nexus 2050 a été marquée par la présence de nombreux orateurs de l’Université du Luxembourg. Raphaël Frank, Djamila Aouada, et Anja Leist ont foulé la scène de Luxexpo The Box et partagé leurs connaissances avec les participants du forum. L’ancienne étudiante Mara Kroth, fondatrice de GoldenMe, figurait aussi parmi les panelistes.

_{Photo © University of Luxembourg}