À l’occasion de l’Alices Dag, l’Université et l’Entente des Offices sociaux signent un Memorandum of Intent, confirmant leur volonté d’unir recherche et pratique au service du bien-être social au Luxembourg.
L’Université du Luxembourg à accueilli plus de 250 professionnels du secteur social au Luxembourg à l’occasion de la 3ᵉ édition de l’Alices Dag. Étudiants, professeurs et professionnels ont pu se rencontrer et échanger sur plus de 60 stands tenus par les organisations luxembourgeoises du secteur social.
Plus qu’un lieu de rencontre, l’Alices Dag permet de renforcer la confiance et la co-création entre l’Université et les intervenants du secteur social. Une relation indispensable et essentielle pour que les deux parties puissent répondre au mieux aux besoins de la société luxembourgeoise.
« Le dialogue est fondamental. La recherche et la formation en sciences sociales ne peuvent se faire en laboratoire. Elles doivent être réalisées avec vous, qui travaillez sur le terrain et en connaissez les enjeux. Nous agissons tous deux pour le bien-être de la société, nous sommes faits pour aller ensemble », a déclaré Marie-Hélène Jobin, vice-rectrice aux partenariats et aux relations internationales, en s’adressant aux professionnels du secteur présents lors de l’ouverture.
Devenu une référence en quelques années d’existence seulement, Alices a renforcé les liens entre l’Université du Luxembourg et le secteur social, menant aujourd’hui à la signature d’un Memorandum of Intent avec L’ Entente des Offices sociaux du Luxembourg. Cette signature confirme la volonté des deux parties d’étendre leur collaboration afin de favoriser une approche commune du travail social.
‟ Nous aimerions développer un service basé sur l’intelligence artificielle qui permettrait de proposer des solutions de collaboration entre organisations du secteur social, en fonction des requêtes de l’utilisateur ”

Research scientist
Des rencontres qui façonnent les vocations
Ce rapprochement entre académiques et professionnels profite directement aux étudiants du Bachelor en Sciences Sociales et Éducatives. Si certains ont déjà une idée précise quant à leur avenir professionnel, d’autres profitent de l’Alices Dag pour découvrir la grande variété des métiers de ce secteur clé. « Je viens découvrir les différents domaines et institutions où je pourrais travailler plus tard. C’est une belle opportunité pour échanger et comprendre leurs valeurs », explique Mariana, étudiante de première année.
De l’autre côté du stand de la Croix-Rouge, Nathalie Bley, ancienne étudiante de l’Université, raconte : « Je suis le meilleur exemple pour prouver l’intérêt de ces échanges. J’ai été la première diplômée du secteur par l’Université, et me voici aujourd’hui pour rencontrer ceux qui construiront l’avenir de notre métier. »
De la science à l’action
L’équipe d’Alices ne compte pas s’arrêter là et regorge déjà de projets pour accompagner l’évolution du secteur social au Luxembourg.
« Nous aimerions développer un service basé sur l’intelligence artificielle qui permettrait de proposer des solutions de collaboration entre organisations du secteur, en fonction des requêtes de l’utilisateur », se réjouit Mathias Blanc, research scientist à l’origine d’Alices.
Reflet de l’engagement sociétal de la Faculté des Sciences Humaines, Sociales et de l’Éducation, le succès est au rendez-vous de cette troisième édition. « Je suis ravi de constater que l’Agora se porte bien et s’élargit. Profitons de ce forum et continuons de co-créer cet espace extraordinaire », conclut Robert Harmsen, Doyen de la Faculté.
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