C’est ce que révèle l’étude récente «Green Collateral», de l’Université du Luxembourg, co-signée par la professeure de finance Diane Pierret.
Bien que les avantages économiques et environnementaux soient une évidence au Luxembourg, l’accès aux logements verts l’est beaucoup moins pour les ménages à revenus modestes.
Dans une interview accordée à Paperjam, Diane Pierret expose les implications sociales de cette inégalité et suggère des solutions afin de promouvoir une distribution plus équitable de ces logements durables. L’étude volontairement centrée sur le marché immobilier norvégien révèle une relation directe entre l’efficacité énergétique d’une propriété et son prix.
L’accès aux logements écologiques pour les ménages à faibles revenus est essentiel, tant pour la justice sociale, que pour la stabilité économique globale. Ces logements verts offrent des avantages économiques tangibles, notamment des coûts énergétiques considérablement plus bas. C’est pourtant ce défi d’accessibilité pour certains ménages qui exacerbe davantage les clivages socio-économiques au Luxembourg. Et cette inégalité continue de se creuser, alimentée par de nombreux facteurs.
Notre expert préconise différentes suggestions pour un avenir plus écologique et équitable, que vous pourrez découvrir en lisant la totalité de l’interview en cliquant sur ce lien.