L’importance croissante de l’arbitrage peut susciter des inquiétudes légitimes quant à l’égalité procédurale, mais aussi économique des parties. Une partie peut se trouver dans une situation d’inégalité par rapport à son adversaire que ce soit au moment d’envisager le recours à l’arbitrage dans la négociation contractuelle ou pendant le déroulement de la procédure arbitrale. Pour constituer une justice au service de tous les acteurs économiques, l’arbitrage ne doit pas être un outil aux mains de l’une des parties, mais une procédure prenant en compte la diversité des intérêts en présence.
16H00 – Ouverture, Ministère de la Justice
16H15 – Introduction générale, Patrick Kinsch, Avocat au Barreau de Luxembourg, Professeur à l’Université du Luxembourg.
16h30 – La prise en compte des déséquilibres dans la rédaction des clauses compromissoires, Hakim Boularbah, Avocat au Barreau de Bruxelles, Professeur à l’Université de Liège.
17h15 – Débats
17h30 – L’arbitrage et les parties faibles, Maximin de Fontmichel, Avocat au Barreau de Paris, Maître de conférences à l’Université de Versailles.
18h15 – Débats
18h30 – Propos conclusifs, Pierre Hurt, Avocat au Barreau de Luxembourg, Chargé de cours associé à l’Université du Luxembourg.